Faire sauter les barrières financières à l’accès aux soins
Notre association dénonce régulièrement une médecine spécialisée à deux
vitesses de plus en plus présente en raison d’une augmentation du nombre
de médecins spécialistes conventionnés auprès de la Sécurité Sociale en
secteur 2 à honoraires libres.
(Article paru dans Anjou Consommateurs Spécial Santé de novembre 2024)
UFC-QUE CHOISIR – Stop à la médecine spécialisée à
deux vitesses – 22 février 2024
Cet obstacle financier se cumule sur certains territoires au manque de médecins, avec de forts risques de renoncement aux soins pour de nombreux patients.
Plus gravement encore, la « financiarisation » de l’offre de soins privés devient une réalité incontournable puisqu’aujourd’hui de nouveaux gros acteurs privés investissent dans le secteur du soin, (cliniques privées, laboratoires de biologie, centres d’imagerie médicale, centres pour la vue, les soins dentaires), dans le seul but de dégager des profits, au risque de dérives marchandes : incitation à une multiplication des actes, démarchage commercial agressif, (vision et soins oculaires, prothèses auditives, soins dentaires, etc…).
Certains de ces acteurs ont été condamnés financièrement, voire jusqu’à une interdiction d’exercer, grâce aux poursuites lancées par la Justice à la demande de l’Assurance Maladie ou d’Ordres professionnels. D’autres affaires ont fini au pénal, (centres dentaires DENTEXIA notamment).
→ La Santé ne devrait pas être source de spéculation au détriment tant
de l’Assurance Maladie que des consommateurs/patients qui payent en
moyenne directement, par le biais de leurs complémentaires santé, 20 %
de leurs dépenses de santé.
Un exemple concret de barrière financière à l’accès
aux soins à faire sauter : le vaccin contre
la bronchiolite
Beaucoup d’entre nous avons dû comme « jeunes parents » gérer les bronchiolites de nos enfants.
Jusqu’à très récemment, il n’y avait pas de traitement préventif pour cette infection respiratoire provoquée par un virus très répandu en automne et en hiver qui touche surtout les enfants de moins de 2 ans.
Cela occasionnait encore il y a deux ans des hospitalisations importantes en période d’épidémie, entrainant une surcharge et une désorganisation des services de Pédiatrie des hôpitaux.
Ainsi, sur la période hivernale 2022-2023, l’épidémie a duré 16 semaines, engendrant 73.262 passages aux Urgences, 26.104 hospitalisations et 10.801 appels à SOS Médecins
En 2023, grâce à la recherche médicale, une innovation majeure a été mise à la disposition des médecins par le laboratoire Sanofi : un médicament préventif permettant l’immunisation de l’enfant pendant 5 mois, le Beyfortus.
Ce qui a permis pendant l’hiver 2023-2024, de traiter à titre préventif 250.000 nourrissons, et donc de casser tout épisode épidémique, (avec ses conséquences économiques positives grâce à moins d’hospitalisations ou d’arrêts de travail pour garde d’enfants malades).
Un second miracle est survenu : une prise en charge à 100 % par la Sécurité Sociale, mais qui n’a été que temporaire.
En effet, malheureusement, à partir de la période actuelle 2024/2025, si les parents sont très fortement incités à faire immuniser leurs nourrissons grâce à ce nouveau traitement, désormais le Beyfortus est remboursé par l’Assurance Maladie seulement à hauteur de 30 %.
Pas grave : les mutuelles couvriront le reste à charge, (70%) !
C’est vrai pour les personnes couvertes par une complémentaire santé, (mais 4 % de la population n’en a pas).
Surtout, sur la base du prix de ce nouveau traitement : 401,80 €, le reste à charge à couvrir par les complémentaires Santé s’élève à 281,26 €. Et donc, très directement, les patients/consommateurs financeront ce « reste à charge » par une augmentation de leur cotisation de mutuelle !
Même si Sanofi qui a mis sur le marché ce médicament bénéficie d’un effet d’aubaine, le prix, (validé par les autorités sanitaires), peut s’expliquer car il a fallu franchir beaucoup d’étapes entre la recherche médicale et la mise sur le marché de ce médicament.
D’autant qu’assez rapidement d’autres laboratoires vont probablement proposer des médicaments similaires mais moins coûteux.
Il n’en reste pas moins que le remboursement par la Sécurité Sociale du Beyfortus est nettement moindre en pourcentage que celui du Doliprane, (65 % : 1,16 € pour une plaquette de 8 comprimés de 1000 mg, fabriqué aussi par Sanofi).
Ce transfert « sournois » vers une dépense privée de ce qui devrait être une « dépense publique », car d’intérêt public, est d’autant plus insupportable qu’au final ce nouveau (et coûteux) médicament induit bien des économies directes et indirectes importantes en termes d’hospitalisation et d’arrêts de travail pour garde enfant malade…
→ Les soins de santé ne sont décidément pas des dépenses pas comme
les autres : les logiques de solidarité, de prévention et de qualité des
soins ne peuvent être soumises à la seule logique du profit.
Comment réduire les dépenses de santé sans
pénaliser les patients/consommateurs ?
Très régulièrement, (et encore cette année !), les pouvoirs publics sont confrontés à ce dilemme : comment maitriser les dépenses de santé ?
Et toujours aussi régulièrement, les mêmes remèdes sont préconisés : responsabiliser les patients en augmentant le « reste à charge » non couvert par l’Assurance Maladie.
Ce qui revient en réalité à transférer ce « reste à charge » de l’Assurance Maladie aux Complémentaires Santé pour tous les patients en disposant.
Certains économistes ont en 2021 attiré l’attention des pouvoirs publics sur l’importance des frais de gestion des complémentaires santé au regard de ceux de l’Assurance maladie.
Le tableau ci -dessous établi pour l’année 2022 par la Direction de la Recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des Statistiques, (DREES), qui dépend du Ministère de la Santé montre effectivement cette distorsion :
Consommation de soins et de biens médicaux (CSBM) | Coûts de gestion du système de santé (CGSS) | % CSBM/CGSS | |
Assurance Maladie | 189 milliards d’euros | 6,728 milliards d’euros |
3,56 % |
Organismes complémentaires | 29,8 milliards d’euros | 7,849 milliards d’euros |
26,33 % |
Reste à charge des ménages | 17 milliards d’euros | Etat : 1,080 milliards d’euros | |
Total CSBM : 235,8 milliards d’euros | Total : 15,657 milliards d’euros |
6,64 % |
Il est sans doute irréaliste de vouloir appliquer le taux de 3,56 % aux frais de gestion aujourd’hui liés aux dépenses des organismes complémentaires, (au lieu de 26,33 % tout de même), si l’Assurance Maladie prenait en compte directement ces dépenses aujourd’hui à la charge des complémentaires santé.
Mais en prenant comme hypothèse des frais de gestion de 10 %, cela permettrait une économie de 4,8 milliards d’euros sans incidence sur les dépenses réelles de santé hors frais de gestion des organismes payeurs.
Pour aller plus loin sur ces hypothèses qui avaient un temps intéressé l’ancien Ministre de la Santé, Olivier Véran :
Complémentaires santé, un pognon de dingue !
Alternatives Économiques – 28 octobre 2022 –
A noter que sur le même thème la Fédération UFC Que Choisir a lancé le 30 janvier 2025 une campagne nationale :
Inégalités d’accès aux soins essentiels – Exigeons une
prise en charge publique à 100 % !
Enquête sur la prise en charge des appels au service d’urgence médicale en Pays de la Loire
Une enquête a été réalisée de septembre à décembre 2024 auprès des
adhérents et sympathisants des six associations locales UFC-Que Choisir
de la région Pays de La Loire , concernant l’utilisation des services
d’appels d’urgence médicale.
L’UFC-Que Choisir des Pays de la Loire regroupe les 6 associations locales, présentes dans tous les départements de la région (11.000 adhérents). Cette Union Régionale est agréée par l’Agence Régionale de Santé (ARS) pour représenter les usagers du système de santé et défendre leurs droits. Nos représentants des usagers sont présents aux niveaux régional et départemental, auprès de l’ARS et dans les établissements de santé (60 représentations dans la région).
Le constat
Ces services reçoivent un volume croissant de sollicitations : environ 2 millions appels par an aux différents centres 15 en Pays de la Loire. Ceci principalement pour deux raisons :
- de nombreuses personnes n’ont pas de médecin traitant ;
- plusieurs établissements de la région imposent, hors péril vital, un accord du centre 15 pour pouvoir accéder à une prise en charge.
Dans ce contexte en tension, nous recueillons à l’UFC-Que Choisir nombre de questionnements sur le fonctionnement des services d’urgence médicale.
Notre objectif
Par le biais de cette enquête[1] nous voulons développer des propositions pour que soient améliorés le temps de réponse et la qualité de la prise en charge des centres 15.
697 adhérents et sympathisants ont répondu à notre questionnaire et nous avons analysé plus particulièrement les 288 répondants ayant appelé depuis moins de 2 ans le 15 ou le 116/117. Nous les avons incités à témoigner en toute liberté sur leurs expériences comme usagers dans les cinq départements de notre région avec leur vécu, qu’il soit bon ou mauvais.
À travers ces résultats, l’UFC-Que Choisir des Pays de la Loire s’est donné comme ambition d’établir une photographie du fonctionnement des numéros d’appel d’urgence.
Ceci pour aider les acteurs concernés, en liaison avec les associations de santé, à en tirer des enseignements et à mettre en œuvre des actions pour améliorer les réponses apportées aux usagers.
Les difficultés ressenties dans les centres 15 et les services d’urgence des hôpitaux sont les effets de tous les manques bien connus de notre système de santé.
L’UFC-Que Choisir les a déjà relevés lors de ses campagnes, notamment sur la « Fracture sanitaire ».
1) Le manque d’information des usagers
Les réponses à notre enquête confirment la méconnaissance des usagers pour les missions et le rôle des services d’appels d’urgence. L’exemple le plus marquant est la faible notoriété du 116/117 (11 % des répondants citent ce numéro).
Nos propositions
- Pour plus de clarté, fusionner les numéros 15 et 116/117 qui arrivent au même centre d’appels.
- Mieux communiquer sur ces numéros auprès du grand public, en précisant bien les missions de chacun.
- Harmoniser le fonctionnement des centres 15 au niveau régional.
2) Le temps de prise en charge et la qualité d’écoute
Les usagers regrettent au moment de l’appel un temps de prise en charge de la régulation médicale à leurs yeux trop longs.
Ensuite, seulement 68 % des répondants sont satisfaits du traitement de leur demande, ce qui laisse une très large marge de progression, notamment pour la qualité d’écoute.
Nos propositions
- Adapter les moyens humains, matériels et technologiques des centres 15 pour faire face à l’afflux et ceci afin que les usagers aient une réelle prise en charge médicale au sein de ce service public,
- Apporter plus de respect et de considération aux patients, en prenant mieux en compte leurs inquiétudes.
- Donner la possibilité d’accéder à l’espace numérique santé pour le médecin du centre 15, avec l’accord du patient.
- Utiliser au besoin une liaison en visio pour échanger avec l’appelant, dans le but de mieux comprendre la situation.
- Travailler sur la prise en charge spécifique pour certaines pathologies de patients (handicap, santé mentale, patients dits remarquables).
3) Quid de l’expérimentation d’une « régulation
d’accès aux urgences » ?
À l’initiative de l’Agence Régionale de Santé (ARS) des Pays de la Loire, une régulation d’accès aux urgences se met progressivement en place pour désengorger les urgences. Hors urgences vitales, les usagers doivent appeler le 15 pour avoir l’autorisation de s’y rendre.
Le nombre d’appels va donc croitre et nous craignons que la partie médecine libérale ne puisse pas faire face à la demande légitime des usagers.
Nos propositions
- Ne mettre en place la régulation d’accès aux urgences que dans des situations de grandes difficultés sanitaires (exemple épidémie de grippe…) et limitée dans le temps.
- Pour sa part, l’UFC-Que Choisir des Pays de la Loire est opposée à la généralisation systématique de cette régulation.
- En effet, l’amélioration de la prise en charge dans les services d’urgence passera essentiellement par l’augmentation de l’offre de soin de ville.
- Elle dépendra aussi de la mise en place solutions pérennes pour soigner les patients après leur séjour aux urgences, avec un nombre de lits suffisant.
4) Les maisons de garde
Les réponses à l’enquête montrent des difficultés pour accéder aux maisons de garde : éloignement, moyens pour s’y rendre.
Nos propositions
- Augmenter le nombre de maisons de garde, en particulier en milieu rural, ou à défaut, proposer des moyens de transport.
- Assurer une amplitude horaire d’ouverture de ces structures suffisante (particulièrement en début de soirée et le samedi matin.)
- Implanter des maisons de garde à proximité immédiate des services d’urgence hospitaliers, pour faciliter et accélérer la réorientation des patients qui n’ont pas ou plus besoin de soins.
5) Le transport vers les Urgences
En cas de besoins jugés très urgents, un certain nombre de témoignages nous alertent sur les difficultés pour obtenir du centre 15 le déplacement d’une ambulance pour se rendre aux urgences.
Nos propositions
- Mieux expliquer le choix de ne pas recourir à l’ambulance.
- Dans ce cas bien vérifier que le patient dispose d’un moyen pour s’y rendre ou l’aider à en trouver un.
Les résultats complets de cette enquête :
Enquête sur la prise en charge des appels au service
d’urgence médicale en Pays de la Loire – Février 2025
[1] Cette étude auprès des usagers n’a aucunement pour but de mettre en cause le professionnalisme des intervenants dans les structures recevant les appels. Au contraire, notre association dénonce certains propos visant à leur faire porter la responsabilité de l’engorgement des services d’urgences sur les patients.
LE BULLETIN TRIMESTRIEL
4ème trimestre 2024
3ème trimestre 2024
2ème trimestre 2024
1er trimestre 2024
4ème trimestre 2023
3ème trimestre 2023
2ème trimestre 2023
1er trimestre 2023
4ème trimestre 2022 |
Numéro spécial Santé
Les cybermenaces, comment s’en protéger ? Alimentation : le sans sucre est un piège ; Les gestes simples pour consommer plusresponsable ; Podeliha ; se défendre après une fraude bancaire.
Thèmes : Assemblée générale 2023 ; argiles de sol et fissures ; fin du tarif réglementé du gaz ; fin du timbre rouge ; les gestes simples pour consommer responsable ; « JeNeSuisPasUneData ».
Thèmes : La fracture sanitaire en Maine et Loire ; un siège au Conseil d’Administration de PODELIHA ; les médicaments à éviter ; luttons contre le gaspillage alimentaire ; un badge pour accéder aux déchetteries d’AL
Thèmes : Le DPE, une loterie ? Élections à PODELIHA ; hausse des forfaits mobiles ; ECOWATT ; les fraudes bancaires ; hausse intempestive des factures d’énergie |
|
3ème trimestre 2022 | Rubriques : Vie de l’association; les fraudes bancaires ; nos dossiers : EPHAD, l’exclusion numérique ; les alertes du mois; l’écho des permanences | A.C. N°260 |
2ème trimestre 2022 | Rubriques : Vie de l’association; nos dossiers : réduire sa facture d’électricité, dates de péremption, adieu factures papier; alertes du mois; écho des permanences | A.C. N°259 |
1er trimestre 2022 | Rubriques : Vie de l’association, Nos dossiers : Santé, étiquette énergie, litiges locataires/bailleurs, l’alertes du mois, écho des permanences | A.C. N°258 |
1er trimestre 2021 | Rubriques : Vie de l’association, Nos dossiers, Actions régionales et nationales, Actualités, Santé, Téléphonie, Pratiques douteuses, L’écho des permanences | A.C. N°254 |
1er trimestre 2020 | Rubriques : Vie de l’association, Actualités, Actions fédérales, Propriétaire-Locataire, Transports, Santé, environnement, Nos dossiers, Bon à savoir, L’écho des permanences | A.C. N°250 |
1er trimestre 2019 | Rubriques : Vie de l’association, Actualités, Bon à savoir, Santé & environnement, Immobilier, Énergie, Véhicules, Nos nouveaux bénévoles, L’écho des permanences | A.C. N°246 |
1er trimestre 2018 | Vie de l’association, Impôts et taxes Propriétaires – Locataires, Auto – Vélo, Arnaques, Écho des permanences | A.C. N°242 |
1er trimestre 2017 | Vie de l’association, Actualités, Santé – Environnement, Propriétaires – Locataires, Arnaques, Automobile, Écho des permanences | A.C. N° 238 |
1er trimestre 2016 | Vie de l’association, Actualités, Habitat – Location, Nouvelles technologies, Habitat – Location, Automobile, Écho des permanences | A.C. N° 234 |
1er trimestre 2015 | Vie de l’association, Actualités, Dossier du trimestre : Habitat – Location, Automobile, Banque – Assurance, En bref et en chiffres, Santé – Environnement, L’écho des permanences | A.C. N° 230 |
1er trimestre 2014 | Vie de l’association, Actualités, Dossier du trimestre : La Santé,6 Banque et Assurance, Arnaques, Copropirété En bref et en chiffres, L’écho des permanences | A.C. N° 226 |
1er trimestre 2013 | Vie de l’association, Actualités, Dossier du trimestre : La santé, Banque et Assurance Cons’auto, Environnement, En bref et en chiffres, L’écho des permanences | A.C. N° 222 |
1er trimestre 2012 | Vie de l’association, Actualités, Dossier du trimestre : Démarchage à domicile, Banque et Assurance, 7 Cons’auto, Santé Environnement, En bref et en chiffres 10-11 L’écho des permanences |
A.C. N° 218 |
Cholet
UFC-Que Choisir 49
Centre social Pasteur
1 rue du Docteur Émile Maillard
49300 CHOLET
Le mercredi matin sur rendez-vous :
Téléphone : 02 41 88 56 42
Courriel : contact@maineetloire.ufcquechoisir.fr
Plan d’accès :
Bus ligne N° 2, au départ de la Mairie direction Croix Blanche, Arrêt : BOSTANGIS
En cas de rendez-vous :
- Il n’y a plus officiellement de contraintes sanitaires imposées
- Cependant nos conseillers bénévoles peuvent souhaiter continuer à porter un masque
- En effet, le maintien des gestes barrières constitue pour chacun d’entre nous une nécessaire précaution personnelle et citoyenne
Prenez connaissance par le lien ci après de nos
Enfin, pour gagner du temps, venez avec un crayon et votre dossier déjà préparé en complétant si possible avant le rendez vous, par ce lien ci après le
questionnaire sur votre litige
Possibilité également, de soumettre vos questions ou litige à nos conseillers-litiges directement en ligne via un formulaire depuis ce lien
Une réponse d’ordre général sans étude de document ni de dossier sera alors apportée aux non adhérents dans les 48h, (jours ouvrés).
Pour les adhérents, (possibilité d’adhérer en ligne), une étude personnalisée de dossier et/ou de document sera effectuée par nos conseillers, (il sera demandé une participation aux frais de 15 € également payable en ligne). Ceci en nous vous pourrez nous remettant alors copie, (format PDF ou JPEG), de toutes les pièces nécessaires, (contrat, facture, CGV, courrier…)
Adhérer
Modalités d’adhésion
L’adhésion est obligatoire avant le traitement d’un litige depuis la loi n° 90-1259 du 31 décembre 1990 portant réforme de certaines professions judiciaires et juridiques.
Après avoir pris connaissance de nos vous pourrez adhérer en ligne à l’UFC-Que Choisir de Maine et Loire. Vous pouvez aussi utiliser le bordereau d’adhésion que vous trouverez au bas de nos conditions de fonctionnement et l’adresser à nos bureaux avec votre règlement. Nota : Au moment de votre adhésion, vous pouvez exprimer votre souhait de rejoindre notre équipe en participant bénévolement aux actions de l’UFC-QC 49. La carte d’adhésion, qui indique votre numéro d’adhérent, vous sera transmise dès validation du règlement, (elle arrive parfois dans les spams de votre boite aux lettres numérique). Votre adhésion vous donnera accès pendant 1 an : – Aux informations juridiques générales* en ligne via notre plateforme, par mail ou téléphone – Aux consultations orales* à nos bureaux -À la documentation de l’UFC-QC, à votre disposition dans nos bureaux : tests comparatifs, relevés de prix, enquêtes, etc. |
Formules d’adhésions proposées :
1 – Adhésion à 42 € incluant le bulletin d’informations trimestriel « ANJOU CONSOMMATEURS » : 2 – Adhésion simple à 35 € sans le bulletin « ANJOU CONSOMMATEURS » 3 – Adhésion de soutien supérieure à 42 €. Considérée comme provenant d’un bienfaiteur, elle sera répartie en 35 € pour l’adhésion, et 7€ pour le bulletin trimestriel, le surplus étant comptabilisé comme DON. 4 – Cotisation réduite « bénéficiaire du RSA, sans emploi, minimum vieillesse, étudiant » => 10€ (justificatif obligatoire) sans le bulletin « ANJOU CONSOMMATEURS » Vous avez 3 possibilités pour nous soumettre vos questions et/ou litige vous opposant à un professionnel du commerce : 1) En ligne : En complétant le formulaire depuis notre plateforme Soumettre un litige en ligne une réponse d’ordre général vous sera apportée sous 48h, jours ouvrés. Si vous souhaitez une étude personnalisée de dossier et/ou de document, il vous sera demandé d’adhérer puis de payer une participation forfaitaire aux frais de 15 €. Vous pourrez nous remettre alors la copie de toutes les pièces nécessaires (contrat, facture, CGV, courrier…) 2) Rendez-vous à nos bureaux ou rendez-vous téléphonique réservés aux adhérents : Muni de votre numéro d’adhésion, prenez rendez-vous auprès de notre secrétariat. Ensuite préparez votre dossier avant ce rendez-vous en complétant le Questionnaire sur votre litige qui constituera la première pièce écrite de votre demande, que vous nous remettrez lors de votre venue à nos bureaux ou lors du rendez-vous téléphonique. 3) Par mail ou voie postale : En nous adressant le bordereau d’adhésion complété et son règlement + la feuille de permanence complétée. |
Pour améliorer nos services, nous mettons à votre disposition plusieurs types de règlements pour vous acquitter de votre ré-adhésion, de vos frais de dossier ou d’un don de soutien.
Nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez. |
Saumur
UFC-Que Choisir 49
ESPACE JEAN ROSTAND
Maison des associations
330 rue Emmanuel Clairefond
49400 SAUMUR
Téléphone : 02 41 88 56 42
Courriel : contact@maineetloire.ufcquechoisir.fr
Bus : N° 30, arrêt Résistance ou Croix Verte
Nos bénévoles de l’antenne de SAUMUR vous accueillent pour vous informer sur le fonctionnement de notre association.
Ils vous orienteront et vous remettront les documents vous permettant, après adhésion, de déposer votre dossier envers un professionnel du commerce relatif au droit de la consommation qui sera traité par l’équipe de conseillers-litiges d’ANGERS.
Vous pouvez d’ores et déjà prendre connaissance par le lien ci-après de nos
Enfin, pour gagner du temps, venez avec un crayon et votre dossier déjà préparé en complétant si possible avant le rendez vous, par ce lien ci après le
questionnaire sur votre litige
Possibilité également, de soumettre vos questions ou litige à nos conseillers-litiges directement en ligne via un formulaire depuis ce lien
Une réponse d’ordre général sans étude de document ni de dossier sera alors apportée aux non adhérents dans les 48h, (jours ouvrés).
Pour les adhérents, (possibilité d’adhérer en ligne), une étude personnalisée de dossier et/ou de document sera effectuée par nos conseillers, (il sera demandé une participation aux frais de 15 € également payable en ligne). Ceci en nous vous pourrez nous remettant alors copie, (format PDF ou JPEG), de toutes les pièces nécessaires, (contrat, facture, CGV, courrier…)
Horaires d’ouverture : le jeudi
matin de 10h à 12h, hors congés scolaires
—> Pour les vacances de Printemps, pas de permanences les jeudi 14 et 21 avril
Permanence Angers
Nos bénévoles et salariées de notre siège d’Angers vous accueillent pour
vous informer sur le fonctionnement de notre association :
- Nous privilégions les rendez vous à nos jours d’ouverture.
- Néanmoins si vous venez à nos bureaux à l’improviste,
nous essayerons de traiter vos problèmes, en fonction
de la disponibilité d’un conseiller litige.
- Enfin il est possible également d’avoir un rendez-vous
téléphonique avec un conseiller litige.
Prenez connaissance par le lien ci après de nos
Enfin, pour gagner du temps, venez avec un crayon et votre dossier déjà
préparé en complétant si possible avant le rendez vous, par ce lien ci après le
questionnaire sur votre litige
Possibilité également, de soumettre vos questions ou litige à
nos conseillers-litiges directement en ligne via un formulaire depuis ce lien
Une réponse d’ordre général sans étude de document ni de dossier sera
alors apportée aux non adhérents dans les 48h, (jours ouvrés), cf. nos
conditions de fonctionnement onglet « adhérer »
Si vous souhaitez bénéficier d’une étude personnalisée et complète de vos
pièces ainsi que de conseils spécifiques, vous avez la possibilité d’adhérer à
notre Association Locale directement en ligne depuis ce lien :
Adhésion à l’association locale UFC-Que Choisir de Maine et Loire
et si vous souhaitez une prise en charge plus rapide de votre dossier, vous
pouvez acquitter des frais de dossier en même temps depuis ce même lien
dans l’espace réservé habituellement au « DON« , (pas de reçu fiscal pour les
frais de dossier) .
Vous pourrez télécharger ensuite dans votre litige en ligne, toutes les pièces
nécessaires à l’étude (contrat, facture, CGV, courrier… après les avoir
renommées pour bien les identifier dans votre dossier numérique)
UFC-Que Choisir 49 Espace Frédéric Mistral 4, Allée des Baladins 49000 ANGERS Tél : 02 41 88 56 42 contact@maineetloire.ufcquechoisir.fr ![]() |
Horaires d’ouverture de la permanence d’Angers :
Du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 17h
-
- Avec ou sans rendez-vous dans nos locaux
- Permanence ou rendez-vous téléphoniques